Un Président malade peut-il déclencher une attaque nucléaire ?

Publié par le Bulletin of the Atomic Scientists

Sous le titre
« Trump’s COVID infection shows why it’s time to retire the nuclear football« 

La contamination de Donald Trump par le coronavirus a ravivé les débats sur le monopole présidentiel sur la décision de lancer une attaque nucléaire. A la suite de son hospitalisation, celui-ci s’est en effet retrouvé sous l’influence de médicaments pouvant causer des manifestations psychotiques, ainsi qu’en insuffisance respiratoire – ce qui peut altérer le jugement et la prise de décision – tout en conservant le pouvoir sur sa valise nucléaire, qui l’a suivi jusqu’au Walter Reed Medical Center.

Certes, de telles situations peuvent être anticipées et la valise être confiée au vice-président, mais celui-ci pourrait se retrouver fort dépourvu, en raison de son impréparation, s’il lui était demander de décider ou non d’une attaque nucléaire en seulement quelques minutes. D’où l’exigence de confier une telle responsabilité à un collectif – par exemple au Congrès – par définition moins susceptible d’égarements individuels.

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